L’histoire est extraordinaire. Tant celle, dramatique, du roi Charles Ier d’Angleterre, décapité lors de la première Révolution anglaise, que celle de sa fabuleuse collection, dispersée aux quatre vents par Oliver Cromwell puis reconstituée tant bien que mal par ses successeurs. Deux expositions, à Londres, retracent cette aventure étonnante, dans le cadre des festivités marquant le 250e anniversaire de la fondation de la Royal Academy of Arts, en 1768.