Très appréciées dans la seconde moitié du Siècle d’or néerlandais, les rarissimes natures mortes de Maria van Oosterwijk font un retour remarqué sur le marché de l’art. Et pour cause, tant son talent que la grâce subtile de sa touche éminemment féminine ont su porter le genre du bouquet floral vers des sommets inégalés. Au point de susciter l’engouement des plus grands princes de son temps.